Pour nous en sortir, l'ordre mondial devrait intégrer la terre comme un sujet de politique

Publié le par Section LDH de Meudon Sèvres Clamart

Le numéro 171 du journal le 1 est une lecture qui est à recommander à quiconque veut bien se rappeler que le droit à vivre dans un environnement "vivable" est un droit fondamental qui risque d'être de plus en plus écorné.

Déjà, ce qu'on nous présente comme des migrations économiques, non justifiables du droit d'asile tel qu'il est, relève bien plus qu'on imagine du changement climatique et ne peut que prendre de l'ampleur.

Si nous ne comprenons pas qu'il faut construire des ponts vers les gens et non des murs contre eux...

Seuls la coopération et le progrès technique et scientifique appliqués à des nombreuses expériences locales pourront transformer la menace grave en opportunité d'un monde meilleur.

Nos perceptions ne nous permettent pas de ressentir l'imminence du danger : c'est ce que nous explique un extrait de "Le syndrome de l'autruche: pourquoi notre cerveau veut ignorer le changement climatique" de George Marshall.

Je ne puis dire mieux que la citation de François Gemenne en couverture du 1:

Nous sommes à l'aube d'un changement majeur et, alors que ces migrations interrogent la migration mondiale de population, ce problème reste un tabou politique absolu"

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